Le principe de fonctionnement est simple : dès que la limite de température est atteinte (60°C) la marque indicatrice sur l’étiquette changera de couleur de manière irréversible en noir.

Cette solution améliore la fiabilité du contrôle, car contrairement à l’imagerie thermique, le vFPT ne détecte pas seulement la surchauffe au moment de l’inspection.

Cette protection peut être complétée en option par l’installation de plusieurs étiquettes de type rFPT (remote FIRE PREVENTION THERMOLABEL), aux points de connexion des contacts et sur les fils électriques potentiellement sujets à la surchauffe.

Lorsqu’une étiquette rFPT est chauffée à la température d’activation (100°C), elle émet un gaz de signalisation qui est détecté par un capteur placé en haut, à l’intérieur de l’armoire de compensation, et qui active un « contact sec » (sortie TOR) qui donne l’ordre au régulateur varmétrique d’arrêter tous les gradins ou qui déclenche le disjoncteur de protection générale, en plus de transmettre son mode de fonctionnement (READY, ALARM, ERROR) via un port de communication Modbus RS485.

Les étiquettes rFPT sont en plus dotées de trois points de thermo-indication calibrés à 50°C, 70°C et 90°C. Lorsque le contact/câble est chauffé au-dessus de la température de thermo-indication, le point change de manière irréversible sa couleur en noir.

FIPRES- Comment ça marche :